En ce temps d’an neuf — onze pas vers trois mille —
Je me plie sous vos cils, et vous tends — un œuf !
Une ovale ovation du corps féminant,
Une langue dansant la palpitation —
— D’un âtre attisé par le feu de vos yeux.
Ô mon âme est un creux où se niche l’épée —
— Pétaradante — des gueulements d’hommes !
Un doux glaive en somme, qui me tue et m’arpente,
Avant que de m’imprégner d’un autre amour…
Notre âme à Jour donne lieu à l’être aimé!
Si au son de mes z’onzains vous succombâtes,
Au sein de Paris onze, j’ai mis la pâte —
— D’un proliférant mets à entre-écou-voir,
Venez vous-y croupoir, pour oïr Bethsabée !
(C’est-à-dire me-moi qui vous souhaite d’être
Et de connaître le Nom qui vous échoit….
En ce temps d’ores et déjà, et ce temps hors de ce là.
(
Quatorzain! ça ne va pas, pour deux mille onze, Holà!)
Votre dévolue dévoûtée—
Bethsabée tous les dimanche à 16 h au théâtre du Temps, 9 rue du Morvan,
RépondreSupprimer75020 Paris. Pour des réservation, ou invitation, laisser un messsage à
lesnoctiluques@gmail.com.