Article sur Bethsabée dans la théâtrothèque

Article dans le cadre de la programmation de Bethsabée au centre Mathis. ( 13 novembre et 4 decembre)

Une palette de couleurs corporelles et textuelles.

Cette pièce est un ensemble de nuances de sensibilités et de traits d’esprits mêlés. Au départ, la couleur est saugrenue : la voix d’Audrey Barrin clame un peu fort ; les propos, énoncés presque religieusement, sont troublants. Cependant, la demoiselle offre rapidement son regard. Et nous croquons du fond de nos poumons sa manière si singulière d’exprimer une intériorité. Dansons "comme des plans de métropolitain" au rythme de son timbre montant et descendant. Audrey Barrin aborde, d’un mouvement de corps accompagné d’un tremblement de cil, l’amour froissé, la compréhension mal digérée, le vide intérieur ou le bonh... la bonne heure. "J’ai dit trois fois bonne heure !", précise l’actrice d’une petite voix gonflée d’authenticité la suite ici

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