En ce temps d’an neuf — onze pas vers trois mille —

Je me plie sous vos cils, et vous tends — un œuf !

Une ovale ovation du corps féminant,

Une langue dansant la palpitation —

— D’un âtre attisé par le feu de vos yeux.

Ô mon âme est un creux où se niche l’épée —

— Pétaradante — des gueulements d’hommes !

Un doux glaive en somme, qui me tue et m’arpente,

Avant que de m’imprégner d’un autre amour…

Notre âme à Jour donne lieu à l’être aimé!

Si au son de mes z’onzains vous succombâtes,

Au sein de Paris onze, j’ai mis la pâte —

— D’un proliférant mets à entre-écou-voir,

Venez vous-y croupoir, pour oïr Bethsabée !


(C’est-à-dire me-moi qui vous souhaite d’être

Et de connaître le Nom qui vous échoit….


En ce temps d’ores et déjà, et ce temps hors de ce là.

(

Quatorzain! ça ne va pas, pour deux mille onze, Holà!)

Votre dévolue dévoûtée—